iNformer le présent

iNspirer l'avenir

Notre approche aux contenus est simple. Nous voulons faire barrage aux fake news et mieux informer la société en simplifiant la compréhension des politiques existantes grâce aux individus et à leurs points de vue comparatifs. Nous voulons également briser les barrières culturelles et sociétales en partageant des expériences fondées sur des données probantes et des perspectives différentes afin d’inspirer des politiques tournées vers l’avenir, capables de répondre aux défis du futur.

La Taxonomie sur les activités durables est une initiative nouvelle en son genre, qui forcera les entreprises à dire la vérité sur leur engagement en termes de durabilité. Parviendra-t-elle à mettre fin au greenwashing ? Quelles sont les implications d’une telle taxonomie pour le reste d’entre nous ? Je tente d’apporter une réponse à ces questions à travers cet article.
1,1 milliard de personnes dans le monde travaillent désormais à leur compte. L’économie de demain est numérique. Le travail tel qu’on le connaît, et tout ce qui l’entoure, est en train de changer. Les politiques de l’UE devront se mettre à jour par rapport à ces évolutions si elles veulent consolider la cohésion sociale en Europe.
Il n’y a certes rien de plus simple que de se réunir autour d’un bon repas pour partager un moment de convivialité. Pourtant, le chemin que l’alimentation doit parcourir jusqu’à nos assiettes s’avère être plus sinueux qu’on ne l’imagine. Individus, animaux, géographies, institutions, traditions et mesures politiques : l’interaction entre cet ensemble d’acteurs et de processus donne lieu à un écosystème alimentaire complexe. Dans ce second article pour Accidental European, je tente d’explorer en quoi une meilleure compréhension de cet écosystème pourrait garantir une approche collaborative, au service d’un avenir écologique, plus durable et plus inclusif, pour l’alimentation et bien plus encore
L’initiative du nouveau Bauhaus européen nous invite à redécouvrir notre rapport aux environnements naturels et aux modes de vie durables. Les bâtiments résidentiels et non-résidentiels sont responsables d’environ 40% de la consommation énergétique totale de l’UE et d’un tiers de ses émissions de gaz à effet de serre. Le projet du nouveau Bauhaus européen vise ainsi à bâtir des logements écologiques abordables et accessibles pour tous, d’après ce que la Commission européenne a exprimé dans sa déclaration de mission officielle. Toutefois, qu’en est-il de l’inclusivité du NBE dans les faits ? Les citoyens les plus défavorisés en bénéficieront-ils ? Le projet tient-il compte des aspects sociaux de la durabilité ?